* Traduction: Kenny Rafael Delgado Arismendi

La pilule contraceptive d’urgence (PCU) est également connue sous le nom de pilule du lendemain, bien que ce ne soit pas seulement pour le lendemain.

Les PCU sont plus efficaces lorsqu’ils sont pris peu de temps après un rapport sexuel non protégé, mais ils peuvent avoir des effets jusqu’à 4 5 jours (96-120 heures), selon le jour où vous êtes dans votre cycle et les pilules que vous prenez.

À propos de nous, nous vous posons des questions vos expériences. Voici ce qu’ils ont répondu.

« J’ai demandé la pilule et je l’ai eue »

J’ai décidé de prendre la pilule du lendemain il y a cinq mois, après avoir senti que le préservatif s’était cassé . Je suis allé à la pharmacie et j’ai demandé la pilule et ils me l’ont donnée, c’était une expérience normale. Après l’avoir pris, j’ai eu des sautes d’humeur. —Anonyme, Hétéro, 21 ans, Mumbai, Inde.

« J’avais l’impression que je devais me battre pour être autorisée à le prendre »

J’ai pris l’ECP il y a six ans. Je me sentais mal, mes règles étaient bizarres et je craignais que les médicaments que je prenais interfèrent avec mon contrôle des naissances. Je suis allé voir mon médecin et j’ai eu l’impression que je devais lutter pour prendre le PAC, ils m’ont fait sentir que j’étais hyperactif et paranoïaque. C’était embarrassant. Après l’avoir pris, je me suis senti coupable. Cela aurait été plus facile si mon médecin avait eu une compréhension plus ouverte sans sous-estimer mon inquiétude et mon anxiété pour ma santé. —Anonyme, femme bisexuelle, 24 ans, Angleterre.

« Il devrait y avoir plus d’informations sur les effets secondaires et les complications possibles »

J’ai pris le PAC il y a cinq mois, en novembre 2018 Le préservatif cassé et nous l’avons remarqué après avoir fini, quand nous l’avons enlevé et que j’étais à ma fenêtre de fertilité. J’ai décidé d’aller à la pharmacie. Ils m’ont offert toutes les options dont ils disposaient. C’était une expérience simple. Après l’avoir pris, je me suis senti calme mais avec un peu de vertiges, de nausées et de douleurs pelviennes comme des crampes menstruelles.

Ces pilules sont bonnes à prendre, mais il devrait y avoir plus d’informations sur les effets secondaires et les complications possibles. Il y a beaucoup de filles qui prennent ces pilules pour le contrôle des naissances. —Gabbs, femme hétéro, 38 ans, Mexico, Mexique.

Note de Clue: La pilule contraceptive d’urgence ne doit être prise qu’en cas d’urgence La pilule contraceptive d’urgence (PAC) ne fonctionne pas comme contraceptif oral ou comme autre forme de contraception. Sur 100 femmes qui utilisent une contraception d’urgence contenant du lévonorgestrel comme principale méthode contraceptive, entre 11 et 20 d’entre elles tomberont enceintes en un an (1).

« J’ai récemment donné naissance à mon premier enfant « 

Quand j’ai pris la pilule du lendemain, je devais avoir environ 27 ans. C’était en 2013. J’avais récemment donné naissance à mon premier enfant, mon cycle menstruel n’était pas encore revenu à la normale et j’avais des relations sexuelles non protégées. Je n’avais pas envie de répéter l’expérience de grossesse si tôt. Je suis allé à la pharmacie dans un centre commercial. J’ai dû signer un questionnaire obligatoire confirmant que je connaissais les risques et les effets secondaires de la prise de ces pilules (il y en avait deux). C’était la seule différence par rapport à tout autre médicament en vente libre que j’avais commandé auparavant.

Émotionnellement, je pense que je me suis senti calme. C’était il y a quelque temps, mais j’imagine que je me serais senti un peu résolu à ne pas vouloir être enceinte et à prendre des mesures pour l’empêcher. Physiquement, il y avait des crampes et des saignements, mais sinon, tout allait bien.

Je pense que j’étais relativement exposé aux informations en ligne et aux communautés qui parlaient des options de prévention et d’interruption de grossesse, cela a fait une énorme différence dans la façon dont je abordé la situation à l’époque. Je savais que j’avais cette option à ma disposition et qu’elle était parfaitement valable si je la prenais. —Anonyme, femme bisexuelle, 33 ans, Cape Town, Afrique du Sud.

« Le pharmacien était très bon – pas de questions posées »

J’ai pris la PEC 3 ou 4 fois. La dernière fois, c’était le mois dernier. Mon partenaire et moi avions un slip de préservatif quand nous avions des relations sexuelles, juste au moment où j’ovulais, et j’avais peur que son sperme soit entré dans mon vagin. Je suis allé à la pharmacie du centre universitaire de santé où je travaille. Le pharmacien était vraiment bon, aucune question posée (sauf pour confirmer mon statut à l’université). Il n’y a pas eu de procès apparent. Après avoir pris l’ECP, je me sentais bien. Dans le passé, j’ai eu des saignements (comme une période légère) commençant environ un jour après avoir pris la PCU, mais rien de plus. Ce fut l’une des expériences les plus faciles et les moins chères que j’ai eues en accédant à PAE. —Anonyme, femme, 32 ans, New Haven, États-Unis

« J’ai appelé la pharmacie et ils l’ont ramenée à la maison »

J’ai pris la PCU il y a environ un an, car j’avais eu des relations sexuelles non protégées. Dans mon pays (République dominicaine), vous n’avez pas besoin d’ordonnance. J’ai appelé la pharmacie et ils l’ont emmenée chez moi. Après avoir pris l’ECP, je me sentais normal. Il vient de se détraquer pour les 3 prochains cycles. —Anonyme, femme queer, 28 ans, Saint-Domingue, République dominicaine

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« J’étais soulagé de faire quelque chose pour remédier à la situation et reconnaissant d’avoir cette option disponible »

I a pris la pilule du lendemain il y a quelques mois. Le préservatif s’est cassé à mi-parcours et je suis paranoïaque à propos de ces choses et je voulais être en sécurité, en particulier en regardant où j’étais dans mon cycle (en plein milieu de ma fenêtre d’ovulation).

J’ai immédiatement voulu obtenir des PCU Même mon petit ami m’a demandé si j’allais le faire. Je suis allé dans une pharmacie de la gare le matin (9-10 heures plus tard), sans aucun problème. La seule chose était le prix: 19 euros pour une pilule. Mais, je suis plus que disposé à payer pour cela, si cela signifie que mes chances de tomber enceinte diminuent.

Après l’avoir prise, je me suis un peu endormie mais pas vraiment hors de l’ordinaire, en fait. J’étais soulagé de faire quelque chose pour corriger la situation et j’étais reconnaissant d’avoir cette option disponible. Plus tard dans la journée, je me suis senti beaucoup plus fatigué, mais je ne me souviens pas d’avoir eu des crampes ou des nausées ou quoi que ce soit. —Anonyme, panromantique asexué, fluide de genre, 23 ans, Leiden, Pays-Bas

« Je ne savais pas quelle pilule prendre. J’étais à la merci du pharmacien. »

Il y a un mois, j’ai pris la pilule de Le lendemain matin après une nuit de vacances. J’étais en Islande et je suis allé dans une pharmacie là-bas. Le pharmacien m’a pris à part, m’a dit de lire la brochure, m’a demandé si j’avais des questions, puis j’ai laissé Je continue. Je me sentais bien! Aucun symptôme. Un des problèmes que j’avais était que je ne savais pas quelle pilule prendre, j’étais à la merci du pharmacien et je n’étais pas sûr d’avoir pris la bonne dose. , bi, femme, 23 ans, Baltimore, Maryland, États-Unis

Un conseil de Clue: Comment choisir la meilleure contraception d’urgence La meilleure option de PCU doit être choisie en fonction de la durée après le rapport sexuel. L’acétate d’ulipristal est efficace s’il est pris jusqu’à 120 heures après un rapport sexuel PCU au lévonorgestrel ils sont efficaces jusqu’à 72 à 96 heures après le rapport sexuel (1). En savoir plus sur l’efficacité des différents contraceptifs d’urgence.

« Ensuite, je me suis senti un peu fatigué, mais il n’y a pas eu d’effets secondaires majeurs »

J’ai pris la PCU en août 2017. J’ai décidé que je voulais le prendre après avoir utilisé la méthode de retrait (inverse). Je suis allé à ma pharmacie locale et je n’ai eu aucun problème avec le personnel. Ensuite, je me suis senti un peu fatigué, mais il n’y a pas eu d’effets secondaires majeurs. L’expérience entière était bien compte tenu de la situation. L’expérience entière était bien compte tenu de la situation. —Anonyme, femme hétéro, 21 ans, homme, Maldives

« Je m’entraînais et ce n’était pas si rassurant, en disant des choses comme ça » c’est SEULEMENT 99% efficace « 

I j’ai pris la pilule le lendemain il y a un an et demi (deux fois par mois), lorsque le préservatif s’est cassé et nous ne l’avons réalisé qu’après son retrait. J’ai décidé de le prendre et je suis allé à la pharmacie. de le prendre deux fois.

La première fois, le pharmacien n’a émis aucun jugement et j’ai pu lui dire où j’étais dans mon cycle. Elle m’a donné beaucoup d’informations. La deuxième fois, c’était même d’accord, mais elle s’entraînait et ce n’était pas si rassurant, en disant des choses comme « c’est SEULEMENT 99% efficace », ce qui m’aurait mis très mal à l’aise si cela avait été ma première expérience. nauséeux et étourdi. La deuxième fois en classe inférieure. —Michelle, pansexuelle, 22 ans, Aberdeen, Royaume-Uni.

Une note de Clue: l’efficacité La publicité pour les pilules contraceptives d’urgence varie Les chercheurs ne savent pas exactement dans quelle mesure les PCU agissent pour prévenir la grossesse pendant l’utilisation dans un seul cycle menstruel. Les estimations se situent entre 47 et 100% dans différentes études, et l’efficacité peut dépendre du type de PCE (1).

« Je souhaite que les entreprises soient plus proactives dans la diffusion des informations et de la publicité qu’elles proposent sur les PCE »

J’ai pris ECP il y a cinq ans. Lorsque j’ai jeté l’emballage du préservatif après avoir eu des relations sexuelles, j’ai remarqué que le préservatif que nous avions utilisé avait dépassé la date d’expiration.J’ai décidé que la PCU était la meilleure action car notre méthode de prévention précédente aurait pu être compromise.

Je suis allé à l’agence Lawtons (une chaîne de pharmacies) et j’ai demandé la pilule d’urgence. Je pense que je pouvais sentir quelques regards des principaux membres du personnel, mais l’employé qui me servait a fait un excellent travail. À ce moment-là, j’avais poursuivi une ligature des trompes, donc me battre pour mes droits était quelque chose auquel j’étais habitué.

Après avoir pris l’ECP, j’ai eu de légères nausées et des crampes, mais dans l’ensemble tout allait bien. Cependant, avoir une pensée féministe ou un talent pour voir le sexe de manière positive aurait pu améliorer l’expérience pour moi. Si nous avions eu une clinique locale ou une clinique de planification parentale qui parlait de PCU, je n’aurais pas été aussi préoccupé de devoir me battre pour y avoir accès. Ayant travaillé dans des refuges de soutien, je savais que les jeunes, les femmes, les personnes trans et les changeurs de genre ont été victimes de discrimination pour accéder à ce qui devrait être légalement et facilement disponible.

Les pharmacies doivent avoir des PCU disponibles, et je veux des entreprises être plus proactif dans la diffusion des informations et de la publicité qu’ils proposent. Quand j’en avais besoin, je ne voulais pas perdre de temps à chercher des amis pharmaciens ou à appeler mon réseau d’amis pour voir quelles pharmacies étaient favorables et utiles et lesquelles refuseraient des services au hasard. —Amanda, pansexuelle queer, femme, 31 ans, Halifax, Canada

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