Epaississement mural œsophagien
TY – CHAP
T1 – Epaississement mural œsophagien
AU – Barlow, John
PY – 2011/1/1
Y1 – 2011/1/1
N2 – Description de l’imagerie L’épaississement de la paroi œsophagienne est une découverte non spécifique par scanner thoracique. L’épaississement mural peut être diffus, segmentaire ou focal. Il peut survenir dans n’importe quel segment de l’œsophage, bien qu’il soit plus fréquent en distal. L’administration intraveineuse de produit de contraste est utile dans l’évaluation CT de l’épaississement de la paroi œsophagienne. L’œsophagite est plus probable que le carcinome de l’œsophage lorsque l’épaississement mural uniforme et circonférentiel implique un long segment de l’œsophage (figure 41.1). Le carcinome de l’œsophage est plus probable lorsqu’un épaississement mural irrégulier et asymétrique implique un court segment de l’œsophage (Figure 41.2). La lymphadénopathie soutient le diagnostic du cancer de l’œsophage. Les cancers de l’œsophage moyen et supérieur métastasent généralement aux ganglions lymphatiques paratrachéaux; les cancers de l’œsophage inférieur se propagent généralement aux ganglions lymphatiques du ligament gastro-hépatique. L’épaississement mural œsophagien n’est jamais une constatation normale. L’épaississement mural n’étant pas facilement diagnostiqué par œsophagramme ou endoscopie, il est important de l’inclure dans le rapport thoracique CT. Une description précise de l’épaississement de la paroi œsophagienne encouragera les médecins traitants à considérer l’infection, l’inflammation et le néoplasme – plutôt qu’une sténose fibrotique ou une motilité anormale – comme la cause de toute dysphagie signalée par le patient. Au cours de la dernière décennie, l’œsophagite à éosinophiles a été mieux reconnue comme une cause d’œsophagite (Figure 41.3).
AB – Description de l’imagerie L’épaississement de la paroi œsophagienne est une découverte non spécifique par scanner thoracique. L’épaississement mural peut être diffus, segmentaire ou focal. Il peut survenir dans n’importe quel segment de l’œsophage, bien qu’il soit plus fréquent en distal. L’administration intraveineuse de produit de contraste est utile dans l’évaluation CT de l’épaississement de la paroi de l’œsophage. L’œsophagite est plus probable que le carcinome de l’œsophage lorsque l’épaississement mural uniforme et circonférentiel implique un long segment de l’œsophage (figure 41.1). Le carcinome de l’œsophage est plus probable lorsqu’un épaississement mural irrégulier et asymétrique implique un court segment de l’œsophage (Figure 41.2). La lymphadénopathie soutient le diagnostic du cancer de l’œsophage. Les cancers de l’œsophage moyen et supérieur métastasent généralement aux ganglions lymphatiques paratrachéaux; les cancers de l’œsophage inférieur se propagent généralement aux ganglions lymphatiques du ligament gastro-hépatique. L’épaississement de la paroi œsophagienne n’est jamais une constatation normale. L’épaississement mural n’étant pas facilement diagnostiqué par œsophagramme ou endoscopie, il est important de l’inclure dans le rapport thoracique CT. Une description précise de l’épaississement de la paroi œsophagienne encouragera les médecins traitants à considérer l’infection, l’inflammation et le néoplasme – plutôt qu’une sténose fibrotique ou une motilité anormale – comme la cause de toute dysphagie signalée par le patient. Au cours de la dernière décennie, l’oesophagite à éosinophiles est devenue une cause de l’oesophagite plus reconnue (Figure 41.3).
UR – http://www.scopus.com/inward/record.url?scp=84923632289&partnerID=8YFLogxK
UR – http://www.scopus.com/inward/citedby.url?scp=84923632289&partnerID=8YFLogxK