L’Université de Harvard (constituée en tant que président et boursiers du Harvard College) est une université privée de Cambridge, Massachusetts. Fondée en 1636, Harvard est la plus ancienne institution d’enseignement supérieur encore en activité aux États-Unis. Fondée 16 ans après l’arrivée des pèlerins à Plymouth, l’Université est passée de neuf étudiants avec un seul maître à un effectif de plus de 18 000 au début du XXIe siècle.

Harvard a été fondée sous le parrainage d’églises, avec l’intention de former le clergé afin que la colonie puritaine n’ait pas à compter sur des pasteurs immigrés, mais elle n’était officiellement affiliée à aucune dénomination. S’émancipant progressivement du contrôle religieux, l’université s’est concentrée sur la formation intellectuelle et la plus haute qualité de bourses académiques, devenant connue pour son accent sur la pensée critique. Non sans critiques, Harvard a résisté aux tempêtes du changement social, ouvrant ses portes aux minorités et aux femmes. Suite aux demandes des étudiants pour une plus grande autonomie dans les années 1960, Harvard, comme la plupart des établissements d’enseignement supérieur, abandonne largement tout contrôle de la vie privée de ses jeunes étudiants de premier cycle. Harvard continue sa rivalité avec Yale et une relation coopérative et complémentaire avec le Massachusetts Institute of Technology voisin.

Membre de l’Ivy League, Harvard maintient une réputation exceptionnelle d’excellence académique, avec de nombreux diplômés et professeurs remarquables. Huit présidents des États-Unis – John Adams, John Quincy Adams, Theodore Roosevelt, Franklin Delano Roosevelt, Rutherford B. Hayes, John F. Kennedy, George W. Bush et Barack Obama – sont diplômés de Harvard.

Mission et réputation

Bien qu’il n’y ait pas d’énoncé de mission à l’échelle de l’université, le Harvard College, la division de premier cycle, a le sien. Le Collège vise à faire progresser toutes les sciences et les arts, qui a été établi dans la charte originale de l’école: « En bref: Harvard s’efforce de créer des connaissances, d’ouvrir l’esprit des étudiants à ces connaissances, et de permettre aux étudiants de tirer le meilleur parti profiter de leurs opportunités éducatives. « Pour atteindre cet objectif, l’école encourage la pensée critique, le leadership et le service.

L’école jouit d’une réputation comme l’une des meilleures (sinon la meilleure) universités du monde. Son éducation de premier cycle est considérée comme excellente et l’université excelle dans de nombreux domaines d’études supérieures. La Harvard Law School, la Harvard Business School et la Kennedy School of Government sont considérées comme les meilleures dans leurs domaines respectifs. Harvard est souvent considérée comme la norme contre que de nombreuses autres universités américaines sont mesurées.

Cet énorme succès est venu avec un certain contrecoup contre l’école. Michael Steinberger du Wall Street Journal a écrit « A Flood of Crimson Ink », en qui Il a fait valoir que Harvard est surreprésentée dans les médias en raison du nombre disproportionné de diplômés de Harvard qui entrent dans le domaine. Time a également publié un article sur l’importance décroissante perçue de Harvard dans l’éducation américaine en raison de l’émergence d’institutions alternatives de qualité. L’ancien doyen du Collège Harvey Lewis a critiqué l’école pour son manque de direction et pour avoir choyé les élèves.

Histoire

Fondation

Fondation de Harvard, en 1636, est venu sous la forme d’un acte de la Great and General Court de la colonie du Massachusetts Bay. L’institution a été nommée Harvard College le 13 mars 1639, du nom de son premier donateur principal, un jeune pasteur nommé John Harvard. Diplômé de l’Emmanuel College, Université de Cambridge en Angleterre, John Harvard a légué environ quatre cents livres dans son testament pour former la base de la collection de la bibliothèque universitaire, ainsi que la moitié de sa fortune personnelle, s’élevant à plusieurs centaines de livres. La première référence officielle connue à Harvard comme une « université » plutôt que comme un « collège » s’est produite dans la nouvelle Constitution du Massachusetts de 1780.

De toute évidence, l’impulsion principale de la fondation de Harvard a été de permettre à la formation du clergé local afin que la colonie puritaine n’ait pas besoin de compter sur les diplômés immigrés des universités anglaises d’Oxford et de Cambridge pour des pasteurs bien formés:

Après que Dieu nous eut transportés en toute sécurité en Nouvelle-Angleterre et que nous ayons construit nos maisons, fourni les produits de première nécessité pour notre subsistance, créé des lieux convenables pour le culte de Dieu et établi le gouvernement civil: Une des prochaines choses que nous désirions et soigné était de faire progresser l’apprentissage et de le perpétuer à la postérité; redoutant de laisser un ministère illettré aux églises, quand nos ministres actuels seront couchés dans la poussière.

Le lien avec les puritains peut être vu dans le fait que, pour ses premiers siècles d’existence, le Harvard Board of Overseers a inclus, avec certains les fonctionnaires du Commonwealth, les ministres de six congrégations locales (Boston, Cambridge, Charlestown, Dorchester, Roxbury et Watertown). Aujourd’hui, bien qu’ils ne soient plus aussi habilités, ils sont toujours autorisés par la coutume sur l’estrade lors des exercices de début.

Malgré l’atmosphère puritaine, depuis le début, l’intention était de fournir une éducation libérale complète comme celle-là. offerts dans les universités anglaises, y compris les rudiments des mathématiques et des sciences («philosophie naturelle») ainsi que la littérature et la philosophie classiques.

Harvard a également été fondée en tant qu’école pour éduquer les Indiens d’Amérique afin de les former comme ministres parmi leurs tribus. La Charte de Harvard de 1650 appelle à «l’éducation de la jeunesse anglaise et indienne de ce pays à la connaissance et à la piété». En effet, Harvard et les missionnaires des tribus locales étaient intimement liés. La première Bible à être imprimée dans toute l’Amérique du Nord continent a été imprimé à Harvard dans une langue indienne, Massachusett. Appelé la Bible Eliot depuis sa traduction par John Eliot, ce livre a été utilisé pour faciliter la conversion des Indiens, idéalement par les Indiens éduqués à Harvard eux-mêmes. Le premier diplômé indien de Harvard, Caleb Cheeshahteaumuck, de la tribu Wampanoag, faisait partie de la classe de 1665. Caleb et d’autres étudiants – anglais et amérindiens – vivaient et étudiaient dans un dortoir connu sous le nom d’Indian College, fondé en 1655 sous le président de l’époque Charles Chauncy . En 1698, il a été démoli par négligence. Les briques de l’ancien Indian College ont ensuite été utilisées pour construire le premier Stoughton Hall. Aujourd’hui, une plaque du côté SE de Matthews Hall à Harvard Yard, le site approximatif de l’Indian College, commémore les premiers étudiants amérindiens qui ont vécu et étudié à l’Université de Harvard.

Croissance vers la prééminence

Entre 1800 et 1870, une transformation de Harvard a eu lieu, que E. Digby Baltzell a appelé «privatisation». Harvard avait prospéré pendant que les fédéralistes contrôlaient le gouvernement de l’État, mais « en 1824, le Parti fédéraliste fut finalement vaincu pour toujours dans le Massachusetts; les républicains triomphants de Jefferson ont coupé tous les fonds de l’État. » En 1870, les «magistrats et ministres» du Conseil des surveillants avaient été complètement «remplacés par des anciens de Harvard issus principalement des rangs de la communauté d’affaires et professionnelle de la classe supérieure de Boston» et financés par des fonds privés.

Pendant cette période, Harvard a connu une croissance sans précédent qui l’a placé dans une catégorie différente des autres Ronald Story nota qu’en 1850 le total des actifs de Harvard était

cinq fois celui d’Amherst et Williams réunis, et trois fois celui de Yale…. En 1850, c’était une véritable université, « sans égal dans les installations », comme un érudit en herbe l’a dit par n’importe quelle autre institution en Amérique – la « plus grande université », a dit un autre, « dans toute la création » … toutes les preuves … quatre décennies, de 1815 à 1855, époque où les parents, selon les «mots d’Henry Adams, ont commencé à« envoyer leurs enfants au Harvard College pour ses avantages sociaux. »

Harvard a également été l’un des premiers leaders à admettre les minorités ethniques et religieuses. Stephen Steinberg, auteur de The Ethnic Myth, a noté que:

un climat de l’intolérance prévalait dans de nombreux collèges de l’Est bien avant que des quotas discriminatoires ne soient envisagés … Les Juifs avaient tendance à éviter des campus tels que Yale et Princeton, qui avaient la réputation de fanatisme … sous l’administration du président Eliot, Harvard a acquis la réputation d’être le plus libéral et le plus démocratique des Big Three, et donc les Juifs ne pensaient pas que l’avenue d’un prestigieux collège w comme complètement fermé.

Dans son mandat de 1869-1909 à la présidence de Harvard, Charles William Eliot a radicalement transformé Harvard dans le modèle de l’université de recherche moderne. Ses réformes comprenaient des cours au choix, de petites classes et des examens d’entrée. Le modèle de Harvard a influencé l’éducation américaine à l’échelle nationale, tant au niveau collégial que secondaire.

En 1870, un an après le terme d’Eliot, Richard Theodore Greener est devenu le premier Afro-Américain à obtenir son diplôme du Harvard College. plus tard, Louis Brandeis, le premier juge juif à la Cour suprême, est diplômé de la Harvard Law School. Néanmoins, Harvard est devenu le bastion d’une élite nettement protestante – la soi-disant classe des brahmanes de Boston – et a continué à être si loin dans le XXe siècle .Le milieu social de Harvard dans les années 1880 est dépeint dans la Philosophie 4 d’Owen Wister, qui oppose le caractère et le comportement de deux étudiants de premier cycle qui « avaient des noms coloniaux (Rogers, je pense, et Schuyler) » avec celui de leur tuteur, un Oscar Maironi, dont « les parents étaient venus dans le gouvernail. »

Début du XXe siècle

Bien que Harvard ait mis fin à la chapelle obligatoire au milieu des années 1880, l’école est restée culturellement protestante et craint de dilution augmenta à mesure que les inscriptions d’immigrants, de catholiques et de juifs augmentèrent au tournant du XXe siècle. En 1908, les catholiques représentaient neuf pour cent de la première année, et entre 1906 et 1922, les inscriptions juives à Harvard passèrent de six à vingt. En juin 1922, sous la direction du président Lowell, Harvard annonça un quota juif. D’autres universités l’avaient fait subrepticement. Lowell le fit d’une manière directe et positionna c’est comme un moyen de « combattre » l’antisémitisme, en écrivant que « le sentiment antisémite parmi les étudiants augmente, et il croît proportionnellement à l’augmentation du nombre de juifs… quand… le nombre de juifs était petit, l’antagonisme racial « En effet, les politiques discriminatoires de Harvard, à la fois tacites et explicites, ont été en partie responsables de la fondation du Boston College en 1863 et de l’Université Brandeis à Waltham voisin en 1948.

L’ère moderne

Au cours du vingtième siècle, la réputation internationale de Harvard a grandi en tant que dotation en plein essor et d’éminents professeurs ont élargi la portée de l’université. La croissance explosive de la population étudiante s’est poursuivie avec l’ajout de nouvelles écoles supérieures et l’expansion du programme de premier cycle.

Dans les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, Harvard a réformé ses politiques d’admission, en cherchant des étudiants de un bassin de candidats plus diversifié. Alors que les étudiants de premier cycle de Harvard étaient presque exclusivement des anciens élèves blancs de la classe supérieure de certaines «écoles nourricières» de la Nouvelle-Angleterre telles qu’Andover et Groton, un nombre croissant d’étudiants internationaux, issus de minorités et de la classe ouvrière avait, à la fin des années 1960, modifié l’ethnie et composition socio-économique du collège. Néanmoins, la population des étudiants de premier cycle de Harvard est restée majoritairement masculine, avec environ quatre hommes fréquentant le Harvard College pour chaque femme étudiant à Radcliffe, fondé en 1879, sous le nom de « Harvard Annex » pour les femmes Suite à la fusion des admissions de Harvard et Radcliffe en 1977, la proportion des étudiantes de premier cycle ont augmenté régulièrement, reflétant une tendance dans l’enseignement supérieur aux États-Unis. Les écoles supérieures de Harvard, qui avaient accueilli des femmes et d’autres groupes en plus grand nombre avant même l’université, se sont également diversifiées dans la période d’après-guerre. En 1999, le Radcliffe College a fusionné officiellement avec l’Université de Harvard, devenant le Radcliffe Institute for Advanced Study.

Alors que Harvard faisait des efforts pour recruter des femmes et des minorités et être plus impliqué dans les problèmes sociaux et mondiaux, l’accent mis sur l’apprentissage le processus de réflexion critique sur l’acquisition de connaissances a conduit à la critique selon laquelle Harvard a «abdiqué sa responsabilité fondamentale de décider de ce que les étudiants de premier cycle devraient apprendre et a abandonné tout effort pour façonner le« caractère moral »des étudiants.

Le début des vingt ans Cependant, au premier siècle, des changements importants ont été apportés. À la suite de l’ouragan Katrina, Harvard, ainsi que de nombreux autres établissements d’enseignement supérieur aux États-Unis et au Canada, ont proposé d’accueillir des étudiants de la région du Golfe qui ne pouvaient pas fréquenter les universités et collèges qui ont été fermés pour le semestre d’automne. Vingt-cinq étudiants ont été admis au Collège, et la faculté de droit a pris des dispositions similaires. Les frais de scolarité n’étaient pas facturés et la maison ng a été fourni.

Le 30 juin 2006, le président de Harvard, Lawrence H. Summers, a démissionné après un tourbillon de controverses (découlant en partie des commentaires qu’il avait faits sur une possible corrélation entre le sexe et la réussite dans certains universitaires des champs). Derek Bok, qui avait été président de Harvard de 1971 à 1991, est revenu pour servir de président par intérim jusqu’à ce qu’un remplaçant permanent puisse être trouvé. Le 8 février 2007, The Harvard Crimson a annoncé que Drew Gilpin Faust avait été choisi comme prochain président, la première femme à occuper ce poste.

Lors d’une conférence de presse sur le campus, Faust a déclaré: «Je J’espère que ma propre nomination pourra être un symbole d’une ouverture d’opportunités qui aurait été inconcevable il y a encore une génération.  » Mais elle a également ajouté: «Je ne suis pas la femme présidente de Harvard, je suis la présidente de Harvard. »

Installations

Système de bibliothèque et musées

Le système de bibliothèque de l’Université de Harvard, centré sur la bibliothèque Widener à Harvard Yard et comprenant plus de 90 bibliothèques individuelles et plus de 15,3 millions de volumes, est l’une des plus grandes collections de bibliothèques au monde. La bibliothèque scientifique Cabot, la bibliothèque Lamont et la bibliothèque Widener sont trois des bibliothèques les plus populaires pour les étudiants de premier cycle, avec un accès facile et des emplacements centraux La bibliothèque Houghton est le principal dépositaire des livres et manuscrits rares de Harvard. La plus ancienne collection de cartes, répertoires géographiques et atlas d’Amérique, anciens et nouveaux, est conservée dans la bibliothèque Pusey et ouverte au public. La plus grande collection de documents en langue d’Asie de l’Est en dehors de l’Asie de l’Est se trouve à la bibliothèque de Harvard-Yenching.

Harvard exploite plusieurs musées artistiques, culturels et scientifiques:

• Les musées d’art de Harvard, dont:
  • Le Fogg Museum of Art, avec des galeries consacrées à l’histoire de l’art occidental du Moyen Âge à nos jours. Les points forts de la première Renaissance italienne, de l’art préraphaélite britannique et de l’art français du XIXe siècle)
  • Le musée Busch-Reisinger, anciennement le musée germanique, couvre et l’art de l’Europe du Nord
  • Le musée Arthur M. Sackler, qui comprend l’art ancien, asiatique, islamique et plus tard indien
• Le musée d’archéologie Peabody et Ethnologie, spécialisée dans l’histoire culturelle et les civilisations de l’hémisphère occidental
• Le musée sémitique
• Le Har complexe du musée d’histoire naturelle vard, comprenant:
  • L’herbier de l’Université de Harvard, qui contient la célèbre exposition de fleurs en verre de Blaschka
  • Le musée de zoologie comparée
  • The Harvard Mineralogical Musée

Athlétisme

Harvard possède plusieurs installations sportives, telles que le pavillon Lavietes, une arène polyvalente et abritant le Équipes de basket-ball de Harvard. Le Malkin Athletic Centre, connu sous le nom de « MAC », sert à la fois de centre de loisirs principal de l’université et de site satellite pour plusieurs sports universitaires. Le bâtiment de cinq étages comprend deux salles de cardio-training, une piscine olympique et une plus petite piscine pour l’aquagym et autres activités, une mezzanine, où tous les types de cours ont lieu à toute heure de la journée, et un studio de cyclisme en salle, trois salles de musculation et un plancher de gymnase à trois courts pour jouer au basket. entraîneurs et cours spécialisés. Le MAC abrite également le volleyball, l’escrime et la lutte de Harvard. Les bureaux du hockey sur gazon féminin, de la crosse, du soccer, du softball et du soccer masculin sont également au MAC.

Weld Boathouse et Newell Boathouse abritent respectivement les équipes d’aviron féminines et masculines. L’équipage masculin utilise également le complexe Red Top à Ledyard CT, comme camp d’entraînement pour la régate annuelle Harvard-Yale. Le Bright Hockey Center accueille les équipes de hockey de Harvard, et le Murr Center sert à la fois de domicile pour les équipes de squash et de tennis de Harvard ainsi que de centre de musculation et de conditionnement pour tous les sports d’athlétisme.

Depuis 2006, il y avait 41 équipes sportives universitaires intercollégiales de division I pour femmes et hommes à Harvard, plus que dans tout autre collège de la division I de la NCAA du pays. Comme pour les autres universités de la Ivy League, Harvard n’offre pas de bourses d’athlétisme.

Vue d’ensemble du campus

Le campus principal est centré autour de Harvard Yard, dans le centre de Cambridge, et s’étend dans le quartier environnant de Harvard Square. La Harvard Business School et de nombreux sports de l’université les installations, y compris le stade Harvard, sont situées à Allston, de l’autre côté de la rivière Charles depuis Harvard Square. La Harvard Medical School et la Harvard School of Public Health sont situées dans la zone médicale et universitaire de Longwood à Boston.

Harvard Yard lui-même contient les bureaux administratifs centraux et les principales bibliothèques de l’université, plusieurs bâtiments universitaires, l’église Memorial , et la majorité des dortoirs de première année. Les étudiants de premier cycle, juniors et seniors vivent dans douze maisons résidentielles, dont neuf sont au sud de Harvard Yard le long ou près de la rivière Charles. Les trois autres sont situés dans un quartier résidentiel à 800 mètres au nord-ouest de la cour au Quadrangle, qui abritait autrefois des étudiants du Radcliffe College jusqu’à ce que Radcliffe fusionne son système résidentiel avec Harvard.

Radcliffe Yard, anciennement le centre du campus du Radcliffe College (et maintenant le siège de l’Institut Radcliffe), est à mi-chemin entre Harvard Yard et le Quadrangle, à côté de la Graduate School of Education.

Installations satellites

Outre ses principaux campus de Cambridge / Allston et de Longwood, Harvard possède et exploite l’Arnold Arboretum, dans la région de Jamaica Plain à Boston; la Dumbarton Oaks Research Library and Collection, à Washington, D.C .; et le centre de recherche Villa I Tatti à Florence, en Italie.

Écoles

Harvard est régie par deux conseils d’administration, le président et les boursiers du Harvard College, également connu sous le nom de Harvard Corporation et fondé en 1650, et le Harvard Board of Overseers. Le président de l’Université de Harvard est l’administrateur quotidien de Harvard et est nommé par la Harvard Corporation et responsable de celle-ci.

L’Université compte plus de 18 000 candidats au diplôme, avec 13 000 étudiants supplémentaires inscrit à un ou plusieurs cours de la Harvard Extension School. Plus de 14 000 personnes travaillent à Harvard, dont plus de 2 000 professeurs. Il y a également 7 000 postes de professeurs dans les hôpitaux d’enseignement affiliés.

Harvard compte aujourd’hui neuf facultés, répertoriées ci-dessous par ordre de fondation:

• La Faculté of Arts and Sciences et sa sous-faculté, la Division de l’ingénierie et des sciences appliquées, qui servent ensemble:
  • Harvard College, la partie de premier cycle de l’université (1636)
  • The Graduate School of Arts and Sciences (organisé en 1872)
  • La Harvard Division of Continuing Education, y compris la Harvard Extension School (1909) et la Harvard Summer School (1871)
• La Faculté de médecine, y compris la faculté de médecine (1782) et la Harvard School of Dental Medicine (1867).
• Harvard Divinity School (1816)
• Harvard Law School (1817)
• Harvard Business School (1908)
• La Graduate School of Design (191 4)
• The Graduate School of Education (1920)
• The School of Public Health (1922)
• The John F. Kennedy School of Government (1936)

De plus, il y a le Forsyth Institute of Dental Research. En 1999, l’ancien Radcliffe College a été réorganisé en Radcliffe Institute for Advanced Study.

Vie étudiante

Les activités étudiantes notables incluent Harvard Lampoon, le plus ancien magazine d’humour du monde, le Harvard Advocate, l’un des plus anciens magazines littéraires du pays et la plus ancienne publication actuelle à Harvard; et le Hasty Pudding Theatricals, qui produit un burlesque annuel et célèbre les acteurs notables lors de ses cérémonies de l’homme de l’année et de la femme de l’année.

Le Harvard Glee Club est le plus ancien choeur d’université en Amérique, et l’Université Choir, le chœur de Harvard « s Memorial Church, est le plus ancien chœur d’Amérique affilié à une université.

L’Orchestre de Harvard-Radcliffe, composé principalement d’étudiants de premier cycle, a été fondé en 1808, sous le nom de Pierian Sodality ( ce qui le rend techniquement plus ancien que le New York Philharmonic, qui est le plus ancien orchestre professionnel d’Amérique), et se produit en tant qu’orchestre symphonique depuis les années 1950. L’école compte également un certain nombre de groupes de chant a cappella, dont le plus ancien est les Krokodiloes de Harvard.

Traditions

Harvard a une rivalité amicale avec le Massachusetts Institute of Technology qui remonte à 1900, quand une fusion des deux écoles a été fréquemment discutée et à un moment donné officiellement convenu (finalement annulé par les tribunaux du Massachusetts). Aujourd’hui, les deux écoles coopèrent autant qu’elles se font concurrence, avec de nombreuses conférences et programmes conjoints, dont la Division Harvard-MIT des sciences et technologies de la santé, le centre de données Harvard-MIT et le Dibner Institute for the History of Science and Technology. En outre, les étudiants des deux écoles peuvent s’inscrire dans des classes de premier cycle ou des cycles supérieurs sans frais supplémentaires, pour obtenir des crédits en vue des diplômes de leur propre école. La relation et la proximité entre les deux institutions est un phénomène remarquable, compte tenu de leur stature; selon au Times Higher Education Supplement de Londres, «Les États-Unis ont les deux meilleures universités du monde selon nos calculs – Harvard et le Massachusetts Institute of Technology, voisins de la rivière Charles. »

La rivalité sportive entre Harvard et Yale est intense dans tous les sports dans lesquels ils se rencontrent, atteignant un point culminant chaque automne lors de leur réunion annuelle de football américain, qui date de 1875, et est généralement appelée simplement » The Jeu. » Alors que l’équipe de football de Harvard n’est plus l’une des meilleures du pays (elle a remporté le Rose Bowl en 1920) comme elle l’était souvent aux débuts du football, elle, avec Yale, a influencé la façon dont le jeu est joué. . En 1903, le stade de Harvard a introduit une nouvelle ère dans le football avec le tout premier stade en béton armé permanent du genre dans le pays. Le sport a finalement adopté la passe avant (inventée par l’entraîneur de Yale Walter Camp) en raison de la structure du stade. .

Plus âgée de 23 ans que The Game, la régate Harvard-Yale était à l’origine de la rivalité sportive entre les deux écoles. Il a lieu chaque année en juin sur la Tamise dans l’est du Connecticut. Le Harvard Crew est considéré comme l’une des meilleures équipes du pays en aviron.

Anciens élèves notables

Au cours de son histoire, Harvard a diplômé de nombreux anciens élèves célèbres, ainsi que quelques tristement célèbres ceux. Parmi les plus connus figurent les dirigeants politiques John Hancock, John Adams, Theodore Roosevelt, Franklin Roosevelt, Barack Obama et John F. Kennedy; le philosophe Henry David Thoreau et l’auteur Ralph Waldo Emerson; poètes Wallace Stevens, T.S. Eliot et E.E. Cummings; le compositeur Leonard Bernstein; l’acteur Jack Lemmon; l’architecte Philip Johnson et le leader des droits civiques W.E.B. Du Bois.

Soixante-quinze lauréats du prix Nobel sont affiliés à l’université. Depuis 1974, dix-neuf lauréats du prix Nobel et quinze lauréats du prix littéraire américain, le prix Pulitzer, ont siégé à la faculté de Harvard.

Notes

• Bethell, John T. 1998. Harvard observé: une histoire illustrée de l’université au vingtième siècle. Presse universitaire de Harvard. ISBN 0-674-37733-8.
• Douthat, Ross. 2006. Privilège: Harvard et l’éducation de la classe dirigeante. Hyperion. ISBN 1401307558.
• Hoerr, John. 1997. We Can « t Eat Prestige: The Women Who Organized Harvard. Temple University Press. ISBN 1-56639-535-6.
• Karabel, Jerome. 2006.Les élus: l’histoire cachée de l’admission et de l’exclusion à Harvard, Yale et Princeton. Livres de Mariner. ISBN 061877355X.
• Keller, Morton et Phyllis Keller. 2007. Making Harvard Modern: The Rise of America « s University. Oxford University Press. ISBN 019532515X.
• Lewis, Harry R. 2006. Excellence Without a Soul: How a Great University Forgot Education. PublicAffairs. ISBN 1586483935.
• Trumpbour, John (éd.). 1989. How Harvard Rules. Boston: South End Press. ISBN 0-89608-283-0.

Tous liens récupérés le 4 août 2017.

• Université de Harvard.